Les lumières éclairent les ombres des solitudes. Elles trouvent refuge entre les murs de pierre, au fond des puits clairs ou sous la verrière brisée. Les habitudes de guinguette, les joies immuables nappent l’oubli. Au pied de l’escalier on attend le chat utopique, on déguste les quetsches cueillies sous la tonnelle et dans la barque, sur la rivière, bruisse l’attente.
J’adore le début de ton texte!
merci
j’adore le chat utopique