– Week-end de l’Ascension, il est temps de quitter Paris pour ouvrir le chalet fermer depuis 6 mois. J’ouvre la porte et plonge dans la pénombre. L’odeur si familière d’humidité et de feu de bois me tombe dessus, m’enveloppe, remplit… Lire la suiteOdeurs
En plus de tout mon amour, je lui apportais mes bonnes intentions, rangées dans des boites plastiques hermétiques et transparentes. De ce que l’on ne pouvait nommer Tupperware – ce mot ne faisait référence à rien ici ni système de… Lire la suite« Je t’invite »
L’odeur du gaz quand on tourne le bouton très légèrement âcre qui fait toujours un peu tourner la tête avant que l’allumette ne s’approche du brûleur l’odeur sucrée et caramélisée des oignons que l’on fait revenir au fond de la… Lire la suiteCe qui me ramène toujours à toi
Sa vie a commencé à l’automne. Quand l’odeur de l’humide remplace la chaleur de l’été quand on pense aux récoltes, aux compotes, au sucré des confitures et aux bocaux bien clos pour tenir tout l’hiver. Humus, et pour peu que… Lire la suiteParfum d’automne
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Il aimait entrer dans la serre à l’improviste pour trouver sa mère, affairée à « d’autres » que lui. Dès le premier pas, des milliers de gouttes d’eau venait se poser sur lui d’un seul coup, en guise de baptême, lui priant… Lire la suitePortrait de cet homme devenu, en 4 odeurs
D’abord l’odeur du tabac à pipe qu’on appelle Amsterdamer. Boisé et sucré. Quelque chose qui hésite entre les quais arpentés par les dockers mal rasés et le chic d’un club anglais où l’encaustique se dispute la vedette avec le cirage… Lire la suitePot-pourri d’enfant gâté
