Je me tasse de thé sur la terrasse et me savoureux les rayons du soleil sur la peau. Je mon moment préféré, quand la nature chantonnante et plein éveil. Les petits oiseaux déjà se vol au loin à l’abreuvoir pour un peu d’eau sur leurs plumes batiffolantes. Ils se gazouillis gentiment et parfois se chamaillerie sans raison évidente, se cri ailleurs puis se retour.
Je gorge de thé et me pari le gagnant quand je soudain le chat dans les alentours, à plat ventre. Malin, l’air de rien sans un bruit, il se direction les oiseaux qui se voltige innocemment. Je me question s’ils attention quand même. Peut-être, peut-être pas. Et le chat ? Chasseur toujours, il se lentement, très lentement vers son objectif. Et d’un coup, stop. Net. Il se statue inébranlable, seuls les yeux au ralenti de chaque mouvement des oiseaux.
Je le vent dans les arbres, le bruissement des feuilles et tel un frisson sur mes bras. Le chat se changement, les pattes de l’arrière comme des ressorts en tension. Je mon souffle et mon cœur la chamade : les oiseaux se toujours sur l’abreuvoir, au même endroit. J’incertitude, je me trop loin pour quoi que ce soit. Le temps que le film dans ma tête et la connexion entre mon cerveau et mes membres, le chat se déjà à l’action : il se bondissement avec une toujours aussi étonnante détente. Je me cri de mon fauteuil. « Non ! »
Mais les oiseaux heureusement ont plus d’un tour dans leurs ailes. En un rien de temps, à peine le chat avait-il amorcé son saut, qu’ils s’étaient déjà réfugiés dans les branches du cerisier d’à côté. Penaud et un peu vexé, le chat revenait déjà vers moi, minaudant de son petit miaulement plaintif pour signifier son envie de câlins… ou de gamelle.