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Ce site est mis à disposition des participants aux ateliers d’écriture EcrireClair.net afin de publier et partager leurs productions.
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Basile, il endormissement. Il nuit cauchemar. Les façades écroulement. Les bombes éclatement. Les cris jaillissement des entrailles de la terre. Soudain, il transport de briques Lego gigantesques. Il avancement, plein de sérieux. Il comme investissement d’une mission sacrée. Il en… Lire la suiteBasile en guerre
Je me tasse de thé sur la terrasse et me savoureux les rayons du soleil sur la peau. Je mon moment préféré, quand la nature chantonnante et plein éveil. Les petits oiseaux déjà se vol au loin à l’abreuvoir pour… Lire la suiteL’instant thé
Toujours ce poids grisaille à la limaille du jour, cinq heures trente petits chants d’oiseaux, la fenêtre entrouverte, échappant de fumées, les cigarettes volatiles des garçons, un souffle sous mes mots énervés : fenêtre plus grande encore ! tout en grand, la… Lire la suiteà pas fenêtre
Je dors comme on ferme une porte, je dors comme un visage connu dans la foule, je dors comme on remonte l’eau d’un puits, je dors comme un container, plein des rêves des autres, je dors comme un sol jonché… Lire la suiteSommeil
Je n’ai pas gardé souvenir de l’étrange déflagration interne quand j’ai commencé à perdre le ventre. A chaque spasme, les toilettes, le corps plié, les bruits du liquide, la perte d’eaux, de selles, de sang. Perdre la vie, vissé aux… Lire la suite5 – le voyage est dans le ventre
LE CAIRE Je repris encore une respiration, une de plus, avant de pousser plus fort que les fois précédentes, concentrée et repliée au plus profond de moi, seule face à l’expérience unique de la douleur d’enfanter. Cette fois fut la… Lire la suite4 – Autoportraits à l’étranger
Il a mal dormi, comme chaque fois que sa femme n’est pas là. Il est descendu très tôt prendre un café au bas de l’immeuble, sans doute incapable de se confronter à lui-même dans sa kitchenette. Les éboueurs sont passés,… Lire la suite3 – Paris sans nous (le lieu perdu)
Dans sa grande cuisine ma grand-mère, tirée à quatre épingles, portait toujours un tablier jaune en lin épais, qui semblait pouvoir résister à toutes les recettes du monde. Je m’applique à retranscrire chaque geste, à respecter chaque étape de ma… Lire la suite2 – Le temps imparfait : revenir
Le tavë kosi de ma mère inondait chaque dimanche la maison de son odeur d’ail et d’origan… Dans la carte des desserts du restaurant, je tente ce yaourt fermenté joliment présenté et je ferme les yeux. Les voix des gens… Lire la suite2 – Faire durer le temps imparfait
Le lit blanc surélevé, les guirlandes pour faire genre, vacances décontractées alors que tu es enfermé, cellule aseptisée 318, couloir de gauche deuxième étage, hôpital d’Aubervilliers. Le lit blanc surélevé, les oreillers agréables, donneraient envie de consacrer sa vie à… Lire la suite4 – Autoportrait d’un étranger