Quelqu’un qui fait quelque chose. Mais quoi. Regarder le plafond au risque du torticolis. Pas pour moi. Il devrait être repeint. Écrire couché. Pas pour moi. L’encre descend toujours du mauvais côté. Écrire au crayon à papier. Pas pour moi. Pas assez lisible. Ou alors il faut du très gras. Il s’étend au moindre frottement. Je vais me faire un café. Pour moi. Du vrai ou du déca. Vous ne le saurez pas. Mais je ne dormirai pas. Écrire est une action en soi. Même si l’on écrit sur le fait de ne rien faire. Ne rien faire est quelque chose qui s’apprend. Mais les professeurs sont rares et discrets. Par définition. On peut aussi écrire dans sa tête. Ce qui rend les choses moins transmissibles. Ou alors il faut transmettre sa tête. Mais pas à n’importe quel prix. Mais pas à n’importe qui. N’importe qui et ce fut toi. Et je t’ai dit n’importe quoi. Voilà Joe Dassin qui arrive.,Il ne manquait plus que cela. Faire et défaire c’est toujours travailler. Des phrases toute faites. À n’utiliser qu’en cas de disette. La fête à quoi. La fête à qui. La fête à écrire. À qui écrire. Écrire sans savoir à qui. Avec ses acquis. Elle est facile celle-là. En apparences. Aller au-delà.